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Témoignages

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"Cher futur étudiant du Magistère de Physique Fondamentale d’Orsay,

Savais-tu que la formation te donne l’occasion de faire un stage à l’étranger ? Ou je devrais plutôt dire partir à l’aventure ! Car personnellement, je suis allé en Inde étudier les réseaux complexes. Inutile de te préciser que le dépaysement a été total.

Cette expérience a un peu été le remake d’ "Un Indien dans la ville" version "Un Breton en Inde" ! (Et oui, il y a même des Bretons qui étudient au Magistère !)
Sur le plan académique, c’est l’occasion d’apprendre de nouvelles notions avec une approche différente. Sans oublier que tu vas améliorer considérablement ton anglais.

Sur le plan personnel, qui n’est pas des moindres, tu découvres une nouvelle culture, de nouveaux paysages, des gens généreux et j’en passe !

Bref, une telle expérience, c’est tout bénéf’ ! En plus, tu as la possibilité de postuler à différentes bourses pour t’aider à financer ton séjour à l’étranger.

Alors sois fou et lance toi !"

Loïc M., Indore (Inde) 2015-2016



"L’environnement offert par l’Institut Weizmann (WIS), agréable et inédit, se décline sur une palette hautement variée. Dans un premier temps, le WIS offre une ambiance très internationale, permettant de rencontrer d’excellents étudiants venant du monde entier. Ce faisant, la langue principale de tous les laboratoires est l’anglais, motivant ainsi l’amélioration des capacités de communications au sein d’équipes diversifiées (tout en découvrant d’autres langues et cultures !). De plus, tous les domaines de sciences y sont représentés, et le brassage des étudiants étrangers (répartis dans de modernes résidences étudiantes) favorise l’échange et la découverte d’autres domaines scientifiques. Les laboratoires sont bien équipés et entretiennent l’excellente qualité de la recherche dans l’Institut.

Le campus, construit sur un modèle anglo-saxon, regorge de grandes pelouses et d’oeuvres d’Art moderne, établissant une atmosphère sereine et un terrain de marche ou de course idéal pour les scientifiques et les chats.

En somme, l’Institut Weizmann, bien que sélectif, est un cadre unique et privilégié pour la recherche scientifique."

Rachel B., Rehovot (Israël) 2015-2016


« Mon année à Glasgow m’a permis de découvrir une magnifique contrée ainsi que la culture écossaise. De plus, j’ai rencontré beaucoup de personnes différentes venant des quatre coins d’Europe avec lesquelles j’ai gardé une très forte amitié. Tout ceci m’a permis d’avoir un nouveau regard sur le monde et de m’améliorer très nettement en anglais.
Passer une année de ma scolarité à Glasgow m’a montré une autre manière d’enseigner la Physique et m’a permis d’entrer en contact avec des chercheurs britanniques au travers de projets.
Cette expérience m’a littéralement transformé : elle m’a permis de me rendre totalement autonome, de prendre confiance en moi et cela m’a donné le goût du voyage.
Ainsi je pense qu’une année ERASMUS est un plus pour l’étudiant sur tous les plans.
Donc n’ayez pas peur, partez à l’aventure ! »

Benjamin L. C., Glasgow 2010-2011


« Tout d’abord la découverte d’un autre système d’enseignement a enrichi ma vision de ce que peut être l’enseignement, la transmission d’un savoir. En particulier en Allemagne, où les rapports entre étudiants et professeurs sont plus directs, moins "académiques". Cela se traduit concrètement par une relation à l’examen bien plus détendue. Les professeurs proposent volontiers de faire passer des examens oraux.
Parallèlement, de pouvoir échanger avec des étudiants allemands, de leur demander de l’aide, des informations, m’a aidé à mieux connaître mon propre pays et ses particularités.
Bien sûr, ce n’est pas facile tous les jours, mais aller vers l’autre est un exercice formateur. J’ai rencontré des amis, non étudiants, musiciens, qui m’ont aidé souvent à dépasser des difficultés personnelles. »

Nicolas B., Heidelberg 2010-2011


« Pour moi, partir pour mon année de M1 à Imperial College en ERASMUS a été une vraie chance. L’immersion totale en pays anglophone m’a permis de maîtriser l’anglais, langue incontournable en Physique, et qui s’apprend malgré tout assez vite quelque soit le niveau de départ. Mais la vraie surprise a été de voir les différences de point de vue dans l’apprentissage et la vision de la Physique. Les anglais ont une manière différente d’apprendre la Physique, vraiment complémentaire à la manière française. C’est vraiment un élargissement de la vision. Pour finir, cette année passée en Angleterre m’a aussi permis de découvrir un pays et ses coutumes que je ne connaissais peu finalement. »

Julien P., Imperial College 2010-2011


« Partir un an à l’étranger... Ca peut faire peur au départ. On part dans un pays que l’on ne connait pas, en laissant ses amis et sa famille derrière soi, pour faire des études dans une langue qu’on ne maîtrise pas et que l’on n’ose pas parler.
Tout ça, c’est ce que l’on peut se dire avant de partir. Après avoir passé cette période d’appréhension du départ et celle plus ou moins difficile qui suit l’arrivée dans le pays d’échange, on se rend vite compte que ce sera une expérience inoubliable et unique. Avoir la chance de rencontrer de nouvelles personnes très sympathiques qui ont une culture différente de la nôtre (surtout à New York où on rencontre des gens de tous pays), découvrir une nouvelle ville d’un pays étranger, ça ne se refuse pas. En ce qui concerne la barrière de la langue, avec un peu d’efforts et une immersion totale, ça ne pose aucun problème, et ce même pour le langage scientifique.
Mon bilan : cette année a été vraiment bénéfique et riche en rencontres, et si j’avais à le refaire, je n’hésiterais pas une seconde. »

Alix C., New York 2010-2011


« Stockholm est une ville très agréable, tant par les transports en commun très pratiques, que par ses archipels qu’on peut visiter par bateau le printemps et l’été, que par ses musées diversifiés, que par ses étudiants bien sûr qui font bouger la ville ! L’hiver est assez long et un peu plus froid que celui que l’on connaît, mais c’est très supportable car la plupart des bâtiments possèdent des sous-sols ou des endroits protégés pour ne pas rester trop longtemps dans le froid. En ce qui concerne l’université KTH (c’est l’Université royale des Sciences et Techniques), tout le monde ou presque en Suède parle anglais donc ne vous sentez pas gênés, s’ils voient que vous ne comprenez pas le suédois, ils traduisent de bon cœur ! Les professeurs et élèves sont très gentils et tous prêts à vous aider ! Le niveau des cours est similaire à la France, et on peut trouver tous les cours nécessaires. De plus, il y a deux grandes universités à Stockholm et des passerelles entre les deux donc vous pouvez demander une autorisation de l’université KTH pour suivre quelques cours à Stockholms Universitet si nécessaire. Il y a beaucoup d’étudiants étrangers, et même en général beaucoup d’étrangers dans cette ville donc vous ne vous sentirez pas du tout de trop. Désolé pour le mythe de la Suédoise blonde mais il n’y en a pas tant que ça tant la diversité des Stockholmois est forte ! Välkommna i Stockholm ! »

Clémentine S., Stockholm 2010-2011


« Lors de mon séjour, j’ai beaucoup appris, pas seulement au niveau études. En plus du contenu des cours j’ai eu accès à une autre forme d’enseignement (avec ses qualités et ses défauts). Les professeurs sont en général plus présents, car ayant leur bureau/labo dans le même bâtiment que celui où ont lieu les cours, on peut facilement les contacter. J’ai trouvé un niveau peut-être moins élevé, mais compensé par la quantité.
Fuyant un peu les autres étudiants ERASMUS pour bien m’immerger, j’ai pu améliorer mon niveau concernant la langue, mais aussi découvrir une autre culture, d’autres façons de penser. Cela dit il était aussi agréable de retrouver des étudiants ERASMUS de temps à autre, pour en apprendre en plus sur les autres pays, les différentes cultures, ... Bref c’est en ce moment là que le mot « échange » prend tout son sens.
J’ai été agréablement surpris de voir comment le nombre d’habitants, assez inférieur à celui de Paris, rend cette capitale beaucoup moins stressante que Paris, mais tout aussi vivante. »

Vivien C., Madrid 2010-2011


« J’ai eu la chance de pouvoir intégrer le Master des Systèmes Complexes en partenariat avec le Magistère. L’expérience m’a été vraiment profitable, autant humainement que culturellement et plus encore, intellectuellement. Turin est une ville très dynamique, agréable et ouverte. On y trouve un grand nombre de musées et d’expositions en tout genre. Les cours que j’ai suivis ici étaient théoriques, partant de l’aspect formel et poussant la discussion jusqu’aux applications aux frontières de la physique. L’encadrement y est irréprochable et préserve une très grande liberté. Je suis convaincu que cette année a été pour moi une très grande réussite. »

Etienne D., Turin 2010-2011